Mercredi 23 octobre
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11:00
3. La Préparation de Jeanne
Belle Omphale était en train, à l’aide d’un large gode-ceinture très ajusté, de sodomiser Jeanne qui se
tenait la croupe bien offerte, surélevée par des coussins. Elle allait et venait avec lenteur en Jeanne en s’enfonçant toujours plus profondément sans tenir compte des cris de celle-ci qui la
suppliait d’arrêter.
Quand elle aperçut Marie prosternée elle libéra provisoirement l’anus du gode ceinture pour remplacer
celui-ci par une coquille semblable à peine moins grande qu’elle enfonça profondément d’un geste ferme non sans l’avoir préalablement généreusement enduite de vaseline. Jeanne râla sous ce nouvel
outrage mais Omphale sourit sans cruauté et soupira :
- Ah ma pauvre adorable Jeanne ! Tu sais pourtant que le Maître veut te prêter au Maharadjah de
Singharta et ceci n’est hélas rien au regard de ce qui t’attend. Son Altesse a envoyé une coquille de son auguste membre qui est encore plus longue et plus large que celle-ci. Le Maître souhaite
qu’elle entre en toi sans effort ce qui veut dire qu’il va falloir te distendre davantage. Mais aussi, mon trésor, si tu n’étais pas si belle et si noire… Ne bouge pas et médite sur le grand
honneur qui t’est fait. Tu n’as plus que quinze jours pour te préparer, et encore, ton épreuve ne sera-t-elle pas complète car le Maharadjah de Singharta compte t’offrir à plusieurs de ses
dignitaires quand il en aura assez de toi. Tu sais combien ces hommes aiment les belles soumises occidentales… Un problème, Petite Marie ?
Marie se prosterna une nouvelle fois et prit bien garde à demeurer parfaitement immobile.
- Oui, Belle Omphale ! Il semble que Jade ait un anus très peu dilaté…
- Ah, dit Omphale avec gourmandise, tu as bien fait de me prévenir ! Nous allons particulièrement
veiller à arranger cela. Relève-toi, maintenant, je suis très satisfaite de toi ! Tu retireras cinq coups de cravache sur ton Carnet de Soumission et je viendrai te libérer le clitoris.
Maintenant, embrasse-moi pour la faveur que je te fais.
Marie ne se fit pas prier et embrassa Omphale à pleine bouche. Celle-ci lui pelota le sein droit puis le
gauche. Omphale aimait beaucoup les seins de Marie parce qu’ils étaient un peu lourds...
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